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Stéphan Le Doaré

La mise à jour "Omicron"

Nous allons regarder ici pourquoi vous ne couperez pas à l'obligation d'une (ou de plusieurs) dose de vaccination de la nouvelle mouture adaptée à Omicron.

Je vous invite aussi à suivre les développements de ce blog (Affaire Alstom, la guerre du Covid, les vaccins jaloux de Microsoft) qui permettent de comprendre mieux les intérêts croisés entre les politiques et les grandes sociétés pharmaceutiques que l'on nomme les "BigPharmas".



Préambule : lobbying et BigPharma

Pfizer, l'une de ces "BigPharmas", aura dépensé en lobbying des montants astronomiques : 11 millions de $ en 2019, 10 millions en 2020 et encore 7,2 millions en 2021. De nombreuses personnes influentes auront touché entre 20.000 et 300.000$ de la part de cette société pour promouvoir ses produits.

Citons aussi Stephen Kohn, avocat dénonciateur du cabinet d'avocats Kohn, Kohn & Colapinto : "Les compagnies pharmaceutiques sont connues pour payer des pots-de-vin, offrant des avantages en échange d'un avantage concurrentiel. Les compagnies pharmaceutiques et les entreprises de soins de santé représentent environ 80% des recouvrements de la False Claim[s] Act »

ou encore un ancien salarié de Pfizer, John Kopchinski : "Toute la culture de Pfizer est motivée par les ventes, et si vous ne vendiez pas de médicament illégalement, vous n'étiez pas considéré comme un joueur d'équipe"

Toute la culture de Pfizer est motivée par les ventes, et si vous ne vendiez pas de médicament illégalement, vous n'étiez pas considéré comme un joueur d'équipe


Fabrication et rentabilité

Oui, la santé est devenue un enjeu financier et c'est bien notre malheur.

A l'heure ou un livre ("Les Fossoyeurs") défraie la chronique sur les Ehpad en France, on fait mine de découvrir que des patients payant 8000€/mois dans ces établissements de santé sont traités comme des clients.

Concernant les grands laboratoires, la logique financière prédomine également, largement. Ainsi, il leur est facile de racheter une start-up qui aura breveté une molécule ou une technique d'injection d'ARN messager pour ensuite négocier un prix de vente de ce produit avec quelques zéros supplémentaires, aidés en cela par leur armée de lobbyistes vus ci-dessus.


Faisons un petit retour en arrière. A l'arrivée du Covid-19, les BigPharmas doivent, si elles veulent vendre leurs produits, les fabriquer en masse. Les investissements dans les usines sont considérables et le risque que le "vaccin" soit un échec est grand. D'ailleurs, l'Institut Pasteur lui-même n'a pas réussi à créer un vaccin. Mais peut-être est-ce parce que les équipes françaises sont plus motivées par la déontologie que par le gain.

Il est évident que des industriels orientés "économie" et aussi aguerris ne sont pas des enfants de coeur et que des garanties ont forcément été prises pour garantir la rentabilité. Notons d'ailleurs que toutes les tractations financières sont couvertes par le secret, tant en France qu'au niveau européen sur les prix réels d'achat de ces produits.

Toutes les tractations financières sont couvertes par le secret, tant en France qu'au niveau européen


Collusion, vous avez dit collusion ?

Imaginer que des lobbyistes de ces BigPharmas aient approché des hommes politiques relève encore aujourd'hui du complotisme pour certains, et ce malgré les sommes astronomiques payées par ces firmes en procès de charlatanisme (5 milliards de $ pour Pfizer tout de même).

Nous avons vu ces derniers mois s'effondrer les uns après les autres les "arguments de vente" de ces inoculats. Les français, bons citoyens émus par le sauvetage de leurs ainés, applaudissant en masse les soignants, découvrent un peu sonnés que leur pays, l'un des plus vaccinés, est pourtant le plus grand foyer de développement d'Omicron. Tous ne sont pas encore prêts à entendre la vérité car il est toujours difficile d'admettre s'être fait berné. Néanmoins, Pfizer et ses amis ont réussi un coup de maitre : imposer une vaccination pour tous garantissant l'éradication d'un virus ultra-mutant , garantissant donc aussi leur investissement de départ pour la fabrication de ces molécules. Garantissant donc enfin de nombreux bénéfices, bien réalisés en ce moment. D'ailleurs Pfizer est le grand gagnant de l'histoire, ayant même réussi a prendre un certain monopole sur les autres BigPharmas concernant les "vaccins à ARN messager".


De leur côté, les politiques se sont retrouvés contraints de vendre les lots achetés à leurs concitoyens. Ainsi, c'est le budget "sécurité sociale" qui viendra couvrir la ligne "contrat Pfizer", un beau tour de magie.

c'est le budget "sécurité sociale" qui viendra couvrir la ligne "contrat Pfizer"

Mais comme il faut en vendre beaucoup, la stratégie ira encore plus loin : imposition des pass sanitaire puis vaccinal, éloignement des médecins de ville, interdiction de molécules, fausses publications (lancet gate), collusions d'intérêts avec le cabinet Mc Kinsey chargé d'orienter les choix stratégiques du gouvernement (Victor Fabius et David Van Der Layen, les fils des dirigeants du conseil constitutionnel français Laurent Fabius et de la présidente de la commission européenne Ursula Van Der Layen sont directeurs-associés de Mc Kinsey), la liste est longue des "outils" utilisés pour faire passer la pilule.

Jusqu'à entendre le professeur Delfraissy nous déclarer maintenant que le vaccin est un peu "un médicament", d'ajouter qu'il ne devrait pas dire cela car ce n'est pas cohérent. Là, on marche sur la tête et Delfraissy, se décrédibilise chaque jour davantage.


Quoi qu'il en soit, les doses Omicron sont lancées, les contrats verrouillent les "Etats-vendeurs". Il faudra bien que le citoyen passe au "schéma vaccinal" Omicron, l'abonnement qu'il a contracté sans le signer, pour une nouvelle série de doses "anti-Omicron et suivants". Evidemment, on expliquera que c'est pour éradiquer les futurs variants, qu'i faut penser à sa famille, aux jeunes, etc, etc...


Le croirez-vous encore, telle est la question...


Stéphan Le Doaré


Quelques sources :



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