Le sujet de la vaccination "anti-covid" est sulfureux. Voici mon point de vue et une prospective sur ce sujet.
En préambule, il semble important de dire que je ne me sens ni complotiste, ni totalement incompétent, ni bien sûr le plus compétent en la matière. Je m'appuie néanmoins sur mes études en Biologie cellulaire, mes connaissances en géopolitique et le principe que j'ai appris il y a très longtemps de recoupement des sources. J'aime aussi la contradiction raisonnée, qui est aujourd'hui quasi impossible dans un monde devenu bipolaire entre les "vax" et "antivax". Je comprends que les égos, hypertrophiés par l'accoutumance aux réseaux sociaux, sont touchés de part et d'autre. Du côté des "vax", les arguments "contre" le vaccin sont inacceptable car ils prouveraient qu'ils ont fait une ou des erreurs. Du côté des "antivax", ils ont, par la politique menée, le sentiment de ne pas être entendus et forcés, empêchés, dans leur bon sens.
Pour ma part, j'ai depuis le début de la gestion de cette épidémie, des questions sans réponse. J'ai arrêté de poster sur ce sujet sur Facebook après une discussion test. A la fin de la discussion, on m'attaquait sur ma personne et non plus sur le sujet. Les propos étaient tendus, la discussion raisonnée n'était plus possible.
Mes questions n'ont pas changé, les voici :
Pourquoi appelle-t-on un médicament en phase 3 (il faut 4 phases) un vaccin ? Pour le quidam, ce terme de vaccin fait penser que ce médicament correspond, par exemple, à celui utilisé pour le Tétanos ou la rage. Or, Vacciné contre la rage ou le tétanos, je n'aurais JAMAIS le tétanos, je n'en serai pas porteur, je ne le diffuserais pas.
Quid du Lancet gate ? Après une audition de l'Assemblée Nationale, il était prévu une enquête pour trouver les commanditaires et leur but. Rappelons que le Lancet, éminent journal scientifique, a publié une fausse étude prouvant la nocivité de l'hydroxychloroquine. Cette étude a entrainé le bannissement de cette molécule dans les traitements, son interdiction de prescription en France.
Pourquoi les "vaccins traditionnels" (chinois, prévu pour 1,7 milliard de personnes quand même) sont ils interdits en Europe mais validés par l'OMS ?
Pourquoi ne dit-on pas que l'instance de l'AMM (autorisation de mise sur le marché) des vaccins à ARNm a décidé de ne pas tester les adjuvents (nouveaux) pour lancer rapidement la production ?
Peut-on raisonnablement penser qu'on arrivera a tuer un virus avec une vaccination à 100% quand on sait qu'il faudrait non pas vacciner toute la France mais toute la planète. D'autre part, les politiques en sont-ils arrivés à se croire plus forts que la nature ou pensent-ils qu'il faut absolument montrer qu'ils sont utiles en s'agitant dans tous les sens ? (je penche pour la deuxième hypothèse)
De nouvelles questions se posent avec les rappels de ces "vaccins".
Pourquoi s'appuie-t-on sur les communiqués des laboratoires produisant ces vaccins pour les autoriser sur certaines populations ? Par exemple, la vaccination des enfants est approuvée par les laboratoires eux-mêmes ! (un peu comme si un fabricant de cigarettes formait la recommandation de fumer pour les enfants, sa déclaration faisant foi)
Que penser des laboratoires pharmaceutiques dont on sait qu'ils ont payé plus de 5 milliards de $ d'amendes pour corruption ou charlatanisme ? Certains de ces laboratoires "Big Pharma" ont même scindé leurs activités en différentes filiales pour diluer les amendes...
On sait que, souvent, le cycle de création d'un médicament est le suivant :
La recherche publique trouve, après 10 ou 20 ans, un procédé innovant.
Création d'une start-up rachetée ou rachat direct du brevet par une Big Pharma
Industrialisation du processus de création du médicament, avec augmentation explicite et importante du prix de vente.
Vente avec gros profits par la Big Pharma. A cette étape, en France, le malade va présenter sa carte vitale. Le paiement sera transparent, c'est la sécurité sociale (soit nos impôts) qui va payer la Big Pharma.
Sur ce processus, on voit donc que la Big Pharma profite à plein de la recherche publique, et fait un profit considérable sur le dos de la sécurité sociale. Le patient ne voit rien, mais pour le Covid, une seconde population n'a rien vu, ce sont les médecins. En effet, le fait d'interdire les traitements autres que le vaccin au début de l'épidémie a permis de réserver une part du gâteau de la sécurité sociale qui serait allée chez les médecins. Cette "économie par non-dépense" aura été siphonnée logiquement par les contrats passés avec les fabricants de ces "vaccins".
Alors, à quoi doit-on s'attendre dans le futur ?
Clairement, ces "vaccins" étant ultra-spécifiques (ils portent sur une protéine (spike) dont les mutations sont nombreuses), les virus peuvent sortir de son spectre. Les laboratoires vont donc logiquement lancer des vaccins avec de nouveaux ARNm. Cette faible efficacité a surtout permis aux Big Pharma de passer à un nouveau modèle financier, utilisé maintenant majoritairement dans le domaine du logiciel. Microsoft, Adobe et de nombreux autres éditeurs de logiciels fonctionnent maintenant par abonnement.
Et, oui, nous sommes dans une logique "d'abonnement" dans ces "vaccins". De deux doses, nous sommes passés à trois. On nous parle d'une future quatrième dose sans pour autant savoir quoi que ce soit en terme d'évolution virale. La logique financière, elle, est très claire.
Les enfants, une population qui n'est pas ciblée par ce virus, intéresse aussi. Le contexte montre que les politiques plongent tête baissée dans leur croyance, sans pouvoir se désavouer. Les Big Pharma peuvent donc en profiter pour fondre sur un nouveau public, et leur vendre un abonnement qui ne sert à rien.
En conclusion, le principe qui devrait prévaloir devrait rester le bénéfice-risque :
Les personnes à risque (diabète, obésité, cancers, maladies cardiaques, etc), les personnes âgées, etc... devraient suivre ces protocoles de "vaccination"
Le reste de la population devrait se laver les mains à l'alcool, porter un masque en espace clos, se faire tester gratuitement, se faire soigner par d'autres types de molécules sans que celles-ci soient forcément nouvelles car rentables.
Finalement, les vaccins ne sont pas jaloux. Ni les Big Pharma qui ont trouvé comment entrer dans la grande économie de la "mise à jour" !
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